Le constat est glaçant et l’avertissement sans équivoque. Le Sahel, vaste bande géographique s’étendant de l’océan Atlantique à la mer Rouge, est aujourd’hui confronté à un péril extrême : celui d’un génocide latent. C’est l’alerte lancée par le Dr Lassina Diarra, Directeur de l’Institut de recherche stratégique de l’Académie internationale de lutte contre le terrorisme (AILCT), lors de sa participation au Forum mondial sur la sécurité organisé par le gouvernement du Qatar du 28 au 30 avril 2025 à Doha.
Intervenant dans un panel consacré à la sécurité au Sahel, le Dr Diarra a dressé un tableau alarmant de la situation sécuritaire dans cette région en proie à une violence croissante. « Le risque de génocide est réel au Sahel. Des groupes ciblent de manière systématique certaines communautés, en les assimilant à des terroristes. Ce schéma rappelle tragiquement les prémices du génocide rwandais de 1994 », a-t-il déclaré, devant une audience composée de décideurs politiques, d’experts en sécurité et de diplomates.
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Intervenant dans un panel consacré à la sécurité au Sahel, le Dr Diarra a dressé un tableau alarmant de la situation sécuritaire dans cette région en proie à une violence croissante. « Le risque de génocide est réel au Sahel. Des groupes ciblent de manière systématique certaines communautés, en les assimilant à des terroristes. Ce schéma rappelle tragiquement les prémices du génocide rwandais de 1994 », a-t-il déclaré, devant une audience composée de décideurs politiques, d’experts en sécurité et de diplomates.