Au lendemain du 65ᵉ anniversaire de l’indépendance, Hervé Patrick Amon appelle les Ivoiriens à dépasser les querelles politiques et à s’investir dans la construction d’un pays fort et prospère.
Chères sœurs et chers frères,
Nous sortons fraîchement de la célébration du 65ème anniversaire d’indépendance de notre cher pays, la Côte d’Ivoire.
Je ne saurai imaginer pour chacun d’entre vous, votre ressenti sur cette cérémonie. Pour ma part, un sentiment de fierté d’être ivoirien et de reconnaissance au Président de la République, SEM Alassane Ouattara ainsi qu’à son épouse, Mme Dominique Ouattara, au Premier Ministre, au Ministre d’État Ministre de la Défense, à tout le gouvernement et à chaque ivoirien.
Beaucoup de débats animent ces temps-ci notre pays et en tant que citoyen concerné, j’aimerais apporter ma petite contribution qui j’espère pourra permettre à chacun d’entre nous de prendre du recul pour une meilleure analyse à l’évolution de notre beau pays, la Côte d’Ivoire.
Tout d’abord, nous devons savoir que l’histoire d’un pays, c’est un homme avec une vision.
Permettez-moi de faire une brève présentation d’une ville de référence mondiale, qui attire des visiteurs chaque année, par le monde et que nous connaissons parfaitement en tant qu’ivoiriens.
Paris, ville française dont l’histoire remonte la fondation autour de l’an 259 avant J-C, par la petite tribu des Parisii sur la rive droite de la Seine.
Ce premier peuple de pécheurs tomba entre les mains des Romains qui fondèrent la ville de Lutèce en l’an 52 avant J-C. La ville ne prendra le nom de Paris qu’au IVème siècle.
Si nous faisons un retour de deux siècles en arrière à nos jours, pour démarrer autour de 1850, Paris avait de gros problèmes d’insalubrité, de congestion, de manque d’espaces verts ; c’était une ville sombre, un labyrinthe.
Lorsqu’un homme, Napoléon III, nomma en 1853, le Baron Haussmann pour exécuter des travaux dans Paris, tels que de larges avenues pour faciliter la circulation en centre-ville, cinq gares et la rénovation de nombreux monuments.
Les réseaux d’égout et d’eau potable se développent, des parcs, des bois et les Halles sont créés.
Le Baron Haussmann fit détruire des quartiers entiers pour ouvrir de nouveaux axes afin d’embellir la capitale et faciliter la circulation.
Paris se vide des classes populaires avec des manifestations, des émeutes pour contester et pendant ce temps, de nombreuses personnes accourraient pour avoir du travail.
Nous connaissons Paris aujourd’hui, qui attire énormément de touristes, d’investisseurs et la ville continue de s’embellir de nos jours.
Je suis du RHDP, parti au pouvoir, mais je vous parle avec le cœur et en toute fraternité, nous pouvons être contre certaines choses, car nous avons choisi la démocratie, mais cela ne nous empêche guère de reconnaitre le travail abattu par le Président de la République SEM Alassane Ouattara et qu’il continue d’abattre avec son gouvernement.
Certaines personnes et hommes politiques peuvent critiquer, car ils sont dans leurs rôles, mais nous, citoyens de ce beau pays, devrions sortir de ce type de raisonnements et contribuer pleinement au développement de ce pays, autour d’un homme qui a une vision pour la Côte d’Ivoire.
Nous devons entreprendre, car c’est le secteur privé qui accompagne le développement d’un pays.
Nous devons postuler et passer les concours pour la fonction publique. Nous devons intégrer l’enseignement professionnel, nous intéresser à l’agriculture, à l’élevage etc.
Nous devons nous éloigner des préjugés, des informations erronées, nous ouvrir aux autres afin de se créer plus d’opportunités.
Ǫue nous soyons diplômés ou non, ne restons pas au chômage à errer, à perdre du temps sur les réseaux sociaux, retournons à la terre, frappons aux portes des entreprises de BTP et autres.
Formons-nous sur le tas et surtout concentrons-nous sur nos objectifs pour rendre fiers nos parents.
Éloignons-nous de l’emprise de ces gens qui sont contre notre épanouissement et qui selon eux, ont la solution magique.
Je vous informe mes frères et sœurs que jusqu’en 1985, la Côte d’Ivoire avait déjà la télévision en couleur, alors que la Chine n’avait même pas de toilettes pour ses habitants. Je vous laisse imaginer comment chaque habitant faisait. Ils ne mangeaient que des végétaux, ils ne connaissaient même pas la viande. Nous connaissons tous la suite de nos jours.
Une élection, qu’elle soit présidentielle ou non et dans n’importe quel pays au monde, n’a jamais été inclusive. Elle est toujours exclusive par son code, aux individus du pays et non aux partis politiques de ce pays.
Je me réjouis de ce que certaines prises de parole et commentaires reconnaissent la démocratie dans notre pays, depuis un certain 9 août 2025. Cette reconnaissance va droit à SEM Alassane Ouattara, Président de la République, Chef des Armées, pour le travail exceptionnel mené à la tête de notre pays la Côte d’Ivoire. Un pays est fort d’abord par la puissance de sa force de défense et de sécurité.
Ce qui m’emmène à féliciter SEM Alassane Ouattara, à l’annonce de sa candidature à l’élection présidentielle d’octobre prochain.
Le défi est tellement énorme qu’il ne laisse aucune place à l’inexpérience. Nous faisons frontière aujourd’hui avec le terrorisme et la Côte d’Ivoire, en tant que hub de l’Afrique de l’Ouest, à plus que jamais besoin d’un Président de la République fort, puissant, travailleur et qui rassure tant les partenaires locaux qu’internationaux ; ce que nous avons.
La Côte d’Ivoire est en plein développement que ce soit sur le plan des infrastructures, de l’éducation, de l’enseignement supérieur et professionnel, de l’agriculture, du tourisme, du numérique et de l’innovation, de la formation de la jeunesse et de son insertion, de la culture et j’en passe. Nous devons grimper tous dans ce train avec un homme qui a une vision et qui est aux commandes actuellement. En ayant en tête que nous le faisons pour nous-mêmes, nos familles et pour notre pays la Côte d’Ivoire.
J’ai dit…
Hervé Patrick Amon Chef d’Entreprise Cadre du RHDP
Conseiller Régional de l’Indenié-Djuablin
Président de la commission relation extérieur et de la coopération Du Conseil Régional de l’Indenié-Djuablin
NB :le titre et le chapeau de la rédaction
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