« L’économie sociale et solidaire n’est pas simplement un concept, c’est un véritable levier de transformation pour nos sociétés. Elle nous permet de répondre aux besoins sociaux tout en favorisant le développement économique local. En Côte d’Ivoire, nous avons un potentiel immense. Nous avons des entrepreneurs passionnés, des idées innovantes et une communauté prête à s’engager pour un avenir meilleur », a déclaré Jules Gouhan, président de la Fondation Glory Impact.
Par ailleurs président du Réseau ivoirien de l’économie sociale et solidaire, Jules Gouhan a indiqué que l’atelier est une opportunité de renforcer les compétences, d’échanger des idées et de bâtir des synergies. La formation permettra, a-t-il dit, d’acquérir de nouvelles connaissances, d’améliorer les pratiques et de mieux répondre aux défis qui se présentent à eux.
Il a également souligné l’importance de la collaboration entre les différents acteurs de l’Economie sociale et solidaire (Ess). Selon lui, c’est ensemble qu’ils pourront créer un écosystème dynamique qui soutient les initiatives locales et favorise le changement d’échelle.
Prof. Roch Yao Gnabeli, directeur général de la solidarité et de l’action humanitaire au ministère de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, a, pour sa part, mis en exergue la politique publique ambitieuse visant à promouvoir et soutenir le développement de l’Economie sociale et solidaire en Côte d’Ivoire.
Il dit que le gouvernement travaille sur l’élaboration de projets de loi-cadre spécifiques à l’Ess et à un cadre juridique.
Isabelle Hoyaux, fondatrice de Scale Changer, s’est félicitée de la résolution de l’Organisation des nations unies intitulée « La promotion de l’Economie sociale et solidaire (Ess) au service du développement durable » adoptée le 18 avril 2023.
Elle a affirmé qu’il s’agit d’une étape marquante de la reconnaissance de l’Ess au niveau international et sa contribution aux Objectifs du développement durable (Odd).
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