Selon les organisateurs, l’objectif est de
favoriser les échanges, de décrypter les mutations du marché et d’identifier
les leviers de croissance, pour un tourisme durable et compétitif en Afrique.
Lors de cette rencontre avec la presse, ils
ont dressé un bilan qu’ils jugent satisfaisant des éditions précédentes, car selon
eux, le CITHA a réussi à présenter des projets concrets, à examiner les défis
du secteur tout en attirant les capitaux vers des destinations émergentes.
Dans cette optique, la première franchise de
Vatel (réseau international d’écoles de management hôtelier) en Côte d’Ivoire a
vu le jour, en vue de former des talents locaux pour répondre aux besoins
croissants de main-d’œuvre dans le secteur.
Après une table ronde entre les parties
prenantes (partenaires) à cette 5è édition et Siandou Fofana, ministre du
Tourisme et des Loisirs, ils ont décidé d’investir dans la construction de complexes hôteliers dans certaines villes de l’intérieur du pays, dont Abengourou
et Grand-Bassam.
Un programme ambitieux qui selon eux, va répondre aux besoins
en ressources humaines qualifiées pour une expansion du secteur et qui s’inscrit
dans le renforcement des partenariats public-privé, tels que définis par le
gouvernement.
En outre, ils ont précisé que cette édition
va aborder des thématiques sur l’avenir du tourisme africain à savoir, l’impact
du numérique sur l’expérience client, les stratégies d’investissement et de
financement des projets touristiques et les nouvelles tendances en matière de
formation et de gestion des talents.
Panels, conférences, rencontres B2B et
réseautages sont les activités qui vont meubler cette édition, qui s’achève le
19 février.
Organisée par Voltere By Egis, cabinet conseil en tourisme, loisirs et hôtellerie, la CITHA s’impose comme un atout
essentiel pour façonner l’avenir du secteur en Afrique.
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