A la première interprétation, on peut
aisément se rendre compte que le sésame diplomatique de la CEDEAO permet une ouverture
modérée sur le monde. Encore invalide le passeport AES est si jeune et ne
permet à aucune structure (crédible) de faire ni comparaison ni classement du Sahel
sur l’échiquier international. Avec le passeport de l’ancienne région, le
Burkina Faso a accès à une cinquantaine de destinations dans le monde en mode
visa et non-visa.
Lire l’article original ici.