Cataclysme
à un moment où la question de nationalité et d’origine fait couler beaucoup d’encre
et de salive, l’ancien président du Sénat Ivoirien décrète, persiste et signe
son appartenance et sa filiation Burkinabè. Loin des guéguerres entre
politiciens, l’homme a voulu servir à ses frères de sang et aux ivoiriens un
cours d’histoire entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso devenus des « inséparables
rivaux ».
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