Par voie de presse, elle écrit ce qu’elle a sur le coeur. » Je vous écris en tant
que citoyenne libanaise, fille d’un militaire et familière de cette école de
rigueur, de service et de loyauté à la nation. Le 9 janvier 2025, jour de votre
investiture, j’ai pleuré de joie, comme tant d’autres. Ce moment avait ravivé
un espoir sincère : celui d’un Liban capable de se relever, de panser ses
plaies et de reprendre sa place dans le concert des nations « .
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