Beyrouth et Damas,
toutes deux, font face au réveil. Depuis la fin du régime de Bachar el-Assad en
décembre 2024, la « nouvelle Syrie » scrute sur de possibles
évolutions politiques et économiques. Pour Beyrouth, c’est le jeu des nouvelles
alliances et le raffermissement d’autres partenariats Sud-Sud. La Syrie
multiplie les gestes d’ouverture et « lenteur et prudence » sont
perçues du côté du Liban qui veut suivre un rythme équivalent à son agenda
politique.
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