VTC image d’illustration (DR)
Les opérateurs de Véhicule de transport avec conducteur (VTC) ont eu une dernière rencontre avec la Direction Générale des transports terrestres et de la circulation (DGTTC), une structure du Ministère des Transports.
Selon le Directeur de ladite structure, Oumar Sako, c’est avec l’Autorité de Régulation du Transport Intérieur (ARTI), qu’ils ont rencontré les principaux intervenants dans le secteur du transport appelé VTC (Véhicules de Transport avec Conducteur), notamment les entreprises de mise en relation et les conducteurs de voitures.
 Ce sont ces entreprises de mise en relation qui sont en contact avec le ministère des Transports.
« Elles ont été rencontrées, sur instruction du ministre des Transports, Amadou Koné, pour leur rappeler leurs obligations. Les VTC sont soumis à la réglementation. Vu qu’elles détiennent les plateformes, avant d’engager un conducteur ou d’autoriser quelqu’un à faire du transport via leurs plateformes, elles doivent s’assurer que cette personne se conforme à la réglementation en vigueur, notamment sur la question des cartes de transport, du permis de conduire et de la qualité du véhicule. C’est sur ces questions que nous avons travaillé avec ces entreprises. Il y a quelques-unes, qui n’avaient pas encore l’agrément pour opérer », a-t-il confié lors d’un entretien accordé au CICG.
Il a révélé cependant qu’ils ont été surpris de constater à grands coups médiatiques, qu’une ou deux entreprises qui venaient nouvellement dans notre écosystème de transport avaient commencé à faire des publicités sans que le ministère des Transports ne soit informé.Â
« Toutes ces questions ont été abordées lors de nos échanges et beaucoup ont compris en introduisant des demandes d’agrément. Nous voulons donc entretenir ce cadre de concertation avec les opérateurs de l’écosystème des transports pour trouver des solutions idoines lorsqu’il y a des choses qui ne marchent pas bien », a indiqué M. Sako.
Donatien Kautcha, AbidjanÂ
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